ou 84 km + 957 m
Lever et petit-déjeuner très agréable au bord du lac. Nous partons à 8h, en longeant le lac. La route prend de la hauteur par moment, nous avons deux très bonnes montées, du 10 % et même des passages à 13 %.
Km 22, le groupe se scinde en deux car une variante est possible permettant de rejoindre un autre lac en passant par un col à 1610 m. A ce carrefour, nous voyons arriver les premiers coureurs d'un marathon.
Les deux parcours permettent d'avoir de belles vues sur le lac d'Ohrid. Le passage de frontière se fait à deux endroits différents mais tous sont surpris par les paysages tout de suite différents en Albanie: des prairies toutes sèches, des troupeaux de vaches, moutons et chèvres qui cherchent à manger sous la surveillance de bergers. Nous rencontrons beaucoup de petites charrettes tirées par un cheval et même une bergère, pas toute jeune, montant en amazone un petit cheval. Impressionnant de la voir sauter pour s'y asseoir.
En redescendant, nous arrivons dans une plaine qui fait un peu penser à une oasis, c'est vert, cela contraste. En fait, ce sont des vergers. Il y a beaucoup de pommiers, un peu de pruniers.
Le groupe qui avait le fourgon, a pique-niqué sur la terrasse qui paraissait abandonnée mais finalement il y a eu beaucoup d'allées et venues bizarres: distillerie clandestine..? Le raki qu'on leur a offert était bon.
Les albanais sont très accueillants. Dans les villages, les enfants veulent taper dan nos mains. Une fois, ils se sont même donné la main pour barrer la route des cyclos et s'amuser.
Le lac d'Ohrid, vu de la frontière Macédoine-Albanie:
Noële, notre experte en découpe du jambon:
L'autre groupe a mangé dans une petite auberge avant de passer la frontière.
La communication étant difficile avec la propriétaire, nous avons commandé la même chose que nos voisins. C'était des poivrons farcis, très bons.
Nous arrivons tous à Korce en empruntant 11 km de route plus importante mais il n'y a pas beaucoup de circulation dessus. Les voitures que nous voyons sont des grosses voitures, beaucoup de Mercédès.
C'est beau !
RépondreSupprimer